Ces conditionnements interviennent à plusieurs niveaux :
Ce sont celles qui sont le plus sollicitées car elles se déclenchent presque systématiquement quand nous réagissons aux événements, paroles, stimulations diverses que nous recevons.
Bien évidemment, nous avons plusieurs types de réactions possibles mais elles sont souvent puisées dans le même stock.
Ces réactions sont limitantes dans la mesure où elles agissent comme des automatismes.
Après la survenue de la situation déclenchante, on distingue 4 phases :
Il est important de noter ici que c'est la cognition qui oriente la suite da boucle. En fonction de ce qu'on l'on pense de la situation, une émotion en découle, puis une réaction.
Voici un exemple avec plusieurs cognitions possibles face à la même situation :
Rappelons qu'une croyance est juste ce que l'on tient pour vrai, ce qui est avéré pour nous (voir notre article sur les croyances).
Les croyances influencent nettement la façon dont nous percevons le monde et ce à travers nos filtres cognitifs (ou biais cognitifs).
Par exemple, si j'ai envie d'acheter une nouvelle voiture de tel modèle, je vais en croiser beaucoup durant la journée. Statistiquement, il y en a autant qu'avant mais mon attention est désormais focalisée.
Rappelons qu'une valeur constitue ce qui est important pour nous, ce que nous recherchons (voir notre article sur les valeurs). Les valeurs peuvent être vues également comme des éléments de motivation. Nous structurons notre vie de façon à satisfaire le plus possible nos valeurs.
Plusieurs cas sont possibles en fonction de la satisfaction ou non de la valeur :